Qui suis-je en quelques mots ?

Graphiste et créatif, de manière générale, j’ai toujours été attiré par le cinéma : par ses histoires et par le bonheur et l’évasion procurés. J’ai vraiment développé ma cinéphilie au moment où j’avais besoin de combler un manque et de me stimuler. J’ai officié au journal de La Sorbonne pendant quelque temps en tant que rédacteur cinéma et jeux vidéo, et je l’ai quitté en qualité de directeur de la communication. J’aime être franc et ouvert dans ma cinéphilie (au grand dam de Cynthia qui me canalise pour censurer les gros mots par un astérisque, ou les remplacer par un langage plus soutenu. Par exemple : « ce film est aussi agréable qu’une coloscopie en Biélorussie pendant l’URSS », ne serait pas acceptable) …

Je suis très attiré par le cinéma d’action et plus particulièrement celui d’art martial, par la science-fiction et par les films de monstres. Je n’ai pas spécialement de genre ni de thème qui me repousse ou qui m’emm*rde. Par contre, j’exècre les formes d’élitisme dans le cinéma, la « br*nlette intellectuelle » et le mépris de certains cinéphiles envers les néophytes ou les spectateurs occasionnels. Partageons et réunissons-nous, autour du même amour pour le cinéma !

Je suis très attiré par le cinéma d’action et plus particulièrement celui d’art martial, par la science-fiction et par les films de monstres. Je n’ai pas spécialement de genre ni de thème qui me repousse ou qui m’emm*rde. Par contre, j’exècre les formes d’élitisme dans le cinéma, la « br*nlette intellectuelle » et le mépris de certains cinéphiles envers les néophytes ou les spectateurs occasionnels. Partageons et réunissons-nous, autour du même amour pour le cinéma !

Graphiste et créatif, de manière générale, j’ai toujours été attiré par le cinéma : par ses histoires et par le bonheur et l’évasion procurés. J’ai vraiment développé ma cinéphilie au moment où j’avais besoin de combler un manque et de me stimuler. J’ai officié au journal de La Sorbonne pendant quelque temps en tant que rédacteur cinéma et jeux vidéo, et je l’ai quitté en qualité de directeur de la communication. J’aime être franc et ouvert dans ma cinéphilie (au grand dam de Cynthia qui me canalise pour censurer les gros mots par un astérisque, ou les remplacer par un langage plus soutenu. Par exemple : « ce film est aussi agréable qu’une coloscopie en Biélorussie pendant l’URSS », ne serait pas acceptable) …

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